Dans une série d’articles sur les changements dans la société dans le monde d’après pandémie, Gonzalo Lizarralde parle des aînés mais surtout de leur mode d’habitation.
« La pandémie doit entraîner une réflexion sur la façon d’héberger les aînés au Québec, croit Gonzalo Lizarralde, professeur à l’École d’architecture de l’Université de Montréal. Lors de la première vague, une vaste majorité des décès sont survenus dans les CHSLD et dans les résidences pour aînés, alors que seulement une minorité de personnes âgées sont hébergées dans ces ressources. Ces décès ne sont pas seulement attribuables à la vieillesse, avance-t-il. « Le problème n’est pas l’âge, mais le mode d’habitation. Notre façon d’héberger nos aînés, ici et dans d’autres pays, a fait en sorte qu’on les a mis dans une situation de vulnérabilité particulièrement importante. Il faut que ça change. » Le concept de Maisons des aînés apparaît prometteur, mais il faudra envisager une panoplie de solutions variées, avance-t-il. »
Lire dans Le Devoir.