« Imaginez si l’on avait rasé le Vieux-Port de Montréal ! » s’exclame avec consternation Claudine Déom, professeure à l’École d’architecture et responsable de l’option Conservation du patrimoine bâti de l’Université de Montréal (UdeM). Si la destruction de ce « fleuron de Montréal » paraît inconcevable aujourd’hui, elle a pourtant été envisagée dans les années 1960 afin d’y construire l’autoroute Ville-Marie.
« Des lieux [comme celui-ci] peuvent être inscrits dans la mémoire des gens et être une manifestation importante d’un point d’attache et d’ancrage de l’identité pour une société, affirme Mme Déom. À mon avis, le patrimoine a un rôle à jouer dans des objectifs d’inclusion, de sentiment d’appartenance. »
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