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Bons résultats à la Charrette interuniversitaire du CCA


L'École d'architecture tient à féliciter les lauréats de la Charrette interuniversitaire du CCA, notamment les deux équipes de l'UdeM qui ont obtenu la deuxième et la troisième place. 

Premier Prix
Parasite nocturne
Sema Camkiran, UQAM – Design de l’environnement
Laurence Chrispin-Jetté, UQAM – Design de l’environnement
Rafaelle Avellino, UQAM – Design de l’environnement
Frédérique Desjardins, UQAM – Design de l’environnement

Deuxième Prix
Boîte de nuit
Joëlle Tétreault, Université de Montréal – Architecture
Charlotte Audifax-Gauthier, Université de Montréal – Architecture
Xavier St-Jean, Université de Montréal – Architecture
Marc-Antoine Fournier, Université de Montréal – Architecture

Troisième Prix
Nous marcherions seules la nuit
Charline Lezerac, Université de Montréal – Architecture
Maxime Balthazard, Université de Montréal – Architecture

Mention spéciale
Claiming liminal spaces – the construction site
Camyl Vigneault, Université McGill – Architecture
Olivia Ahmadi – Université McGill – Architecture
Olivier Therrien – Université McGill – Architecture

Sous la responsabilité de Alice Covatta, professeure adjointe récemment recrutée par l'École, la 25e Charrette intitulée La ville de 25h visait à repenser la nuit comme un espace de projets, avec son potentiel d’exploration urbaine et d’expérimentation sociale. Les étudiants ont été confrontés aux questions à plusieurs questions. En quoi de nouvelles approches conceptuelles de la nuit peuvent-elles entraîner des changements sociaux? Jusqu’à quel point pouvons-nous intervenir sur la trame urbaine existante à partir d’une stratégie temporelle? 

La nuit occupe une plus grande importance dans notre vie quotidienne et continue à nous fasciner, mais en même temps elle est souvent absente des débats sur l’architecture ou l’urbanisme. Le résultat est une ville nocturne où le dynamisme économique est prédominant, un risque pour notre domaine urbain en raison de l’homogénéisation, standardisation et exclusion. Dans un monde où la tendance est à l’homogénéisation et à l’injustice, la créativité a le potentiel de faire naître de nouvelles occasions de découverte. Les étudiants ont proposé coexistence et harmonie urbaines favorisant la résilience sociale.