Pour Paula Negron, « Il est impératif que l’on s’attarde collectivement à nos outils de planification (…) Ce n’est pas normal qu’en 2019, un projet comme le Royalmount, qui aura des répercussions immenses sur la région métropolitaine, puisse aller de l’avant parce qu’on n’a pas su le voir venir ! »
Paula Negron s’oppose également au fait que le projet soit décrit par son promoteur comme un « super-TOD » (transit-oriented development). « Ce n’est pas tout d’être près d’une station de métro, insiste-t-elle. Il faut que ce soit facile de s’y rendre, que ce soit agréable ! Il faut que l’environnement incite les gens à délaisser leur voiture au profit des transports collectifs. »
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