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Jean-Pierre Chupin interviewé dans le cadre du concours international pour le palais national à Haïti

En 2017, sept ans après le tremblement de terre qui a réduit en poussière le bâtiment historique du Palais national à Haïti, un grand concours international d’architecture est lancé et les gagnants ont été annoncés le 12 janvier 2020. Mais certains des participants au concours dénoncent l’opacité du processus.

En dépit du renom de l’équipe gagnante de Cassandre Méhu, soutenue par le grand architecte britannique David Adjaye, le fait que le peuple haïtien n’ait pas accès au rapport du jury et donc aux enjeux du jugement qualitatif pose de nombreux problèmes démocratiques.

Le journaliste Widlore Mérancourt, du média en ligne Ayibopost, une plateforme critique de vulgarisation des enjeux publics, a consulté Jean-Pierre Chupin sur certains aspects de ce processus. Pour Jean-Pierre Chupin, la communication du rapport du jury est essentielle. « Dans un concours, le jury incarne littéralement la société pour laquelle on souhaite concevoir et construire le meilleur projet […] Il n’y a donc pas de raisons de cacher tel ou tel aspect du jugement ».

Voir le résultat de l’enquête sur Ayibopost.com